homage as tout nos defunt
merci de l acher vos com publicitaure sur uniquement page 1724 car un beug as effacer la page 175 merci par repect des personnes deceder leurs familles amis et amies merci d avance
VOUS ALLER ME METTRE EN COLERE AS NE PAS REPECTER LES MORTS
je croit que lont cherche as que je ferme se compte car bisaeement il est en entretien que je vient
Arrêter de lâcher vos com. Publicitaire as travers tout surtout pour avoir des com. Supplémentaires car sait du manque de respect Anvers les familles ou les amies et amis du ou des morts
Veuillez utiliser la prochaine fois la page spécial prévue pour sa merci
Merci de l ache vos com. publicitaire sur article n° 875 uniquement page 175 merci par repect des personnes décéder leurs familles amis et amies merci d avance
arretter vos grosserter sur se site merci
DESOLER MAIS SI JE VIENT PRESQUE PLUS JAI DES PROBLEMES DE CONNECTION
SI JAI PAS SU REONDRE AS VOS COM REMETTER LE JE VOIS QUE LES PREMEIR
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souvenir-hier-aujourdhui, Posté le jeudi 29 mai 2014 06:16
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
un-bebe-bebe-reborn, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:46
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
beaux-belles-sublimes, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:08
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
angel-demonne59, Posté le jeudi 29 mai 2014 04:20
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
alex011003, Posté le mercredi 15 juillet 2009 16:55
coucou
je passe te souhaiter une bonne soirée
bisous
francaise08370, Posté le lundi 29 juin 2009 15:34
pas mal
coucou !!!
pour ton amitié**
C' est moi qui arrive avec la lune !!!!
*. * . + . * ),"( . * . + * . +. + . * . + . * . * . + . * . * . * . * .
* . _/\\_ * + . .*.*.*.* .Doucement je suis la devant chez toi
.. * ),"( + * *
________0000______________ _______
______0000________________________
____00000_________________________
___00000___________ Bonne_________
__000000____________Nuit___________
_0000000_____________Doux _________
_0000000__________Rêves____________
_0000__00__________________________
_0000__00000000_____a toi !!!!!________
_000000000000_____________________
__0000000000____________________0_
___0000_000000______A demain___00_
____00000_______0____________000__
______000000__00000______000000___
ce soir, * .* . * avant de te coucher
... *.. *..*. * .regarde le ciel . * . *
* .. *..*et toutes. * .*.. * . * .
*... * les étoiles *.* . *..* *
. * que tu verras *..*..*..*
*.*.*sont les milliers. . * .* . *
..** *.de bisous * . * . * . * .
que * . * je * t'envoie *. * * *
* * dans * la * . . * . . Douceur * . *
*.*.* d'une nuit ** étoilée. *.*.*
***Douce nuit ***
***Doux rêves ***
amitiée lydie
nath-la-nounou, Posté le lundi 27 avril 2009 09:20
JE PASSE EN VITESSE TE FAIRE UN PETIT COUCOU CAR UN PETIT NOUVEAU DEPUIS LUNDI DERNIER ET A DU MAL EN CE MOMENT DONC PAS BEAUCOUP DE TEMP SINON COMMENT VA TU BIEN J ESPERE . ICI LES ENFANTS ONT REPRIS L ECOLE CE MATIN ET LA OUF CELA NOUS FAIT DU BIEN HIHIHIHIHIHIHIHIHHI PASSE UNE TRES BONNE JOURNEE GROS BISOUS NATHALIE
alex011003, Posté le lundi 06 avril 2009 03:30
coucou je t'envoies un panier...................
..................plein.........................
..................................de jolies roses..............
.........conduit..................................
.................................par le wagon.............
...........de l'amitiée......................
...................................merci pour................
....................ta gentillesse...................
..................................et ton amitiée
.................je te souhaite......................
................................une bonne soirée.......
.........suivie d'une......................
........................douce nuit.........................
....fais plein de jolis rêves...et je te souhaite déjà de ............
passer une très belle journée de lundi ....................................mille bisoussss.....
mamoune8000, Posté le jeudi 19 mars 2009 05:44
mon petit passage du jour pour te dire bonjour et te laisser mon petit ourson qui te fera pleins de bisous de ma part
Envoie ce message à ceux que tu considères comme des amis , À moi si j'en fais partie. S'il te reviens plus de 3 fois tu es quelqu'un d'adorable... !!!!! passe une bonne journèe
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mamoune8000, Posté le samedi 07 mars 2009 08:04
je fait mon passage du jour pour te dire bonjour et te souhaité un bon week-end
un océan de bisous
accompagne mon commentaire
ton amie
katy
alex011003, Posté le dimanche 08 février 2009 16:16
coucoiu
je passe prendre de tes nouvelles et te souhaiter une douce fin de soirée
bises
falco14, Posté le mercredi 28 janvier 2009 02:30
je te souhaite un tres bon mercredi
une superbe journee pleine de bonheur
ici il fait sec mais froid-4°
restons bien au chaud sous la couette
amitie
bisous
francoise
n oubliez pas mon defis sur profil et mon petit fils votes
altesse888, Posté le mercredi 28 janvier 2009 01:27
BONJOUR
☆ ♥ ☆ ♥ ☆ ♥ ☆ ♥ ☆ ♥ ☆
Coucou!!! c'est moi !!!
Arrêt immédiat sur ton blog .
Pour te souhaiter une bonne journée
☆ ♥ ☆ ♥ ☆gros bisous ♥ ☆ ♥ ☆ ♥ ☆ ♥ ☆
╭╯☆★☆★╭╯。。。。。。- 。。。
╰╮★☆★╭╯ 。。。。。。。。。。。
╭╯╭╯。。。。。。。。。。- 。
╔╝★╚╗ ╮╭☆ 。。。。。。。。。。
║★☆★║╔═══╗ ╔═══- ╔═══╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨╨
║☆★☆║║★☆║ ║★☆║ - ★☆║DES WAGONS DE BISOUS║
◢◎══◎╚╝◎═◎╝═╚◎═◎- ═╚◎═◎╝..══════╥╥╥╥╥╥╥╥╥╥╥╥
TON AMIE YVETE
bizoune453, Posté le mardi 27 janvier 2009 22:34
(¯`-.-♥¯)-♥____(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-(¯`-.-♥¯)-♥
"... Le seul fait de rêver est déjà très important.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer
et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil
et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence,
aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous
(¯`-.-♥¯)-♥____(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-(¯`-.-♥¯)-♥
AMICALEMENT LISE
(¯`-.-♥¯)-♥____(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-_(¯`-.-♥¯)-♥___-(¯`-.-♥¯)-♥
TENDRE PENSÉE POUR NOS ANGES
tarra79, Posté le mardi 27 janvier 2009 15:32
bonsoir !!!! c'est avec ces petits coeurs♥♥♥
♥♥♥♥♥♥ pour ton amitié ♥♥♥♥♥♥
♪♪ ♪ ♪♪ et ces quelques notes de musique ♪ ♪ ♪ ♪ ♪ ♪
♪ ♪ ♪♪pour t'accompagner dans tes rêves ♪ ♪ ♪
♪ ♪♪ comme une jolie berceuse ♪ ♪ ♪
♪ je passe te souhaiter une agréable soirée ♥
♥ ♪ une trés belle nuit ♪ ♥
♥ ♪ bisous ♪ ♥ ♪
ton amie rosa ♪ ♥ ♪
♥
♪ ♪ ♥ ♥
pourlesenfants13, Posté le mardi 27 janvier 2009 05:17
MESSAGE IMPORTANT A LIRE
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_____¶¶________¶¶__________¶¶ MESSAGE IMPORTANT !...
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____¶______¶___¶_____¶_______¶ MERCI DE LE LIRE
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♥♥ MESSAGE : en mémoire des petits enfants décédés dans cette créche :'(
faîtes passer ce message à tout vos amis d'msn , sms , ect ...
en pensant à eux
car ils ne méritais pas !!
:'(:'(:'(:'(
votre amie élisa
signé et envoyé
marlyse2713
ange240797
maryline-nana
natheric1970
lebeau45600
Claudya31
fionalove67
corinne672
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cricri62200
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veronic59
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Cathie-67000
matequila3
maasia
celinetimeo67
Natty33
DYLDU94
pourlesenfants13
altesse888, Posté le mardi 27 janvier 2009 03:23
Coucou
..........* Ce Petit message
............*
..............* Plein de chaleur
..................*
........................* Qui vient te souhaiter
...............................*
.....................................* Du fond du coeur
..........................................*
.......*....*..............................* Une bonne journée
...*.............*..........................*
.*..................*.......................* Plein de bonnes choses
..*.................*.....................*
...*.....................................* Juste pour toi
......*...............................*
..........*........................* amitié
..............*..................*
.................*...........* gros Bisous
...................*.......*
falco14, Posté le mardi 27 janvier 2009 02:33
je te souhaite un tres bon mardi
une superbe journee pleine de douceur
ici il pleut
que temps chez toi
amitie
bisous
francoise
altesse888, Posté le lundi 26 janvier 2009 11:25
mon petit passage du soir pour te souhaiter une bonne soirée
bisous
angel-demonne59, Posté le mercredi 16 juillet 2014 05:24
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !