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homage as tout nos defunt

merci de l acher vos com publicitaure sur uniquement page 1724 car un beug as effacer la page 175 merci par repect des personnes deceder leurs familles amis et amies merci d avance

VOUS ALLER ME METTRE EN COLERE AS NE PAS REPECTER LES MORTS

je croit que lont cherche as que je ferme se compte car bisaeement il est en entretien que je vient


Arrêter de lâcher vos com. Publicitaire as travers tout surtout pour avoir des com. Supplémentaires car sait du manque de respect Anvers les familles ou les amies et amis du ou des morts
Veuillez utiliser la prochaine fois la page spécial prévue pour sa merci


Merci de l ache vos com. publicitaire sur article n° 875 uniquement page 175 merci par repect des personnes décéder leurs familles amis et amies merci d avance

arretter vos grosserter sur se site merci

DESOLER MAIS SI JE VIENT PRESQUE PLUS JAI DES PROBLEMES DE CONNECTION


SI JAI PAS SU REONDRE AS VOS COM REMETTER LE JE VOIS QUE LES PREMEIR


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Si des personnes voudrais m'aidez a realiser ce que je voulais faire pour lui, qu'il me le dise, a se moment la je vous expliquerais, MErci d'avance pour ceux qui m'aiderons a le realiser





Il s'appellais Valentin il n'a pas depasser 14 ans ...il aimais son chat sa famille ses amis ses conneries se filmer et filmer sa vie cotidienne ...Au college tu étais aimer de tous les professeurs tes potes.. et les gens qui étais dans ton entourage ... Un jour pas comme les autres il faisait beau pour une fois dans cette petite ville ..tu decide donc apres les cours d'aller avec deux de tes amis et ton frere aller au grand morin ...pres de chez toi ... Nous sommes le 18 juin quand ta vie va se terminer !!! en pleine apres-midi alors qu'il faisait beau et chaud tu decide de donner ta camera a ton frere et lui dit que tu va te beigner ...pourtant tu savais tres bien que l'eau du grand morin étais a 18° mais tu t'enleve tout objets electrique tu ne te deshabille pas mais tu rentre dans le morin. Tu fait a peine quelques brasses que tu te met a couler emporter par le courant !! ne pouvant plus rien faire tu appelle au secours ..en quleques secondes tu disparait de la surface de l'eau ...ton frere prend son courage a deux mains et essayer de te r etrouver dans l'eau trouble mais sans vin a son tour il commence a ce faire emporter quand soudain deux voisin arrive et l'un deux etant pompier saute a l'eau remonte ton frere a la surface et essaye de te reperer dans l'eau mais lui non plus n'y arrive pas .... les pompiers de Coulommiers arrivent ..mais ne pouvant rien faire les plongueurs de meaux arrive 30 minutes plus tards ..ils font une reconnaissance et ne te retrouve pas ..puis une deuxieme et te retrouve enfin tu est en hypotermie !! Les pompiers essayent de te reanimer mais san vin ....ton frere et deux de nos amis on vu ta mort sous leurs yeux ...ce fut ce 18 juin 2008 a 16h30 que ton deces fut proclamé !! Le lendemain matin en cours ne savant pas tous sa on m'apprend que tu es partis .. Je ne voulais pas le croire je pencer qu'ils rigoler jusqu'au moment ou je ne t'es pas vu arriver et que j'ai compris que ce n'etais pas une blague ... depuis ce jour un manque en moi c'est creser et plus les jours passent et plus je pence a toi je t'aiime !!!



18 juin ----> jour J
18 juillet --> 1 moiis ....
18 Aout ---> 2 moiis ....
18 sept ---> 3 moiis ....
18 octo ---> 4 moiis ....
18 nove---> 5 moiis ....
18 dece---> 6 moiis ....
18 janv ---> 7 moiis ....
18 Fevr ---> 8 moiis ....
18 mars--> 9 moiis ....
18 avril ---> 10 moiis ....
18 mai ---> 11 moiis ....
18 juin --> 1 ANS ...........
18 juillet -->1 ans et 1 mois....
18 aôut --->1 ans et 2 mois ...
18 sept---> 1 ans et 3 mois...
18 octo---> 1 ans et 4 mois...







Ton absence me blesse,
Je me delesse,
Je repence a tous nos moments,
simultanement,

Cela fait 1 ans et 4 mois,
Que tu est loin de moi,
Je m'en veux,
Mais chaques soirs je regarde ce ciel bleu,

Une etoile brille,
C'est forcement la tienne qui s'intille,
Ce qui me rapel ton sourir,
Et tout nos delirs,

Je ne t'oublie pas,
Chaques minutes une pencée s'envole vers toi,
Dit moi que tu les entends,
Et que tu reste patient,

Tu nous manques tellement,
Nous sommes tellement independants,
Tu nous as laissé un vide,
Tu as eclo comme un chrysalide,

Je ne t'oublie pas,
Je t'en supplie croit-moi,
Repond moi,
Et dit moi que tu vas bien,

Je pence a toi,
Et sa n'en fini pas,
J'avance sans toi,
En l'espoir de te rejoindre pats à pats ...

Je t'aime,
​ 7 | 4 |
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#Posté le samedi 28 novembre 2009 10:23

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souvenir-hier-aujourdhui, Posté le jeudi 29 mai 2014 06:15

À Alfred de Musset

Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)


un-bebe-bebe-reborn, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:45

À Alfred de Musset

Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)


beaux-belles-sublimes, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:08

À Alfred de Musset

Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)


angel-demonne59, Posté le jeudi 29 mai 2014 04:21

À Alfred de Musset

Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
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