homage as tout nos defunt
merci de l acher vos com publicitaure sur uniquement page 1724 car un beug as effacer la page 175 merci par repect des personnes deceder leurs familles amis et amies merci d avance
VOUS ALLER ME METTRE EN COLERE AS NE PAS REPECTER LES MORTS
je croit que lont cherche as que je ferme se compte car bisaeement il est en entretien que je vient
Arrêter de lâcher vos com. Publicitaire as travers tout surtout pour avoir des com. Supplémentaires car sait du manque de respect Anvers les familles ou les amies et amis du ou des morts
Veuillez utiliser la prochaine fois la page spécial prévue pour sa merci
Merci de l ache vos com. publicitaire sur article n° 875 uniquement page 175 merci par repect des personnes décéder leurs familles amis et amies merci d avance
arretter vos grosserter sur se site merci
DESOLER MAIS SI JE VIENT PRESQUE PLUS JAI DES PROBLEMES DE CONNECTION
SI JAI PAS SU REONDRE AS VOS COM REMETTER LE JE VOIS QUE LES PREMEIR
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hommage1, Posté le jeudi 06 novembre 2014 15:03
souvenir-hier-aujourdhui
a écrit : "Rimes riches à l’oeil
"
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
je ne peux repondre tes plus dans mais amis
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le mercredi 16 juillet 2014 06:11
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
un-bebe-bebe-reborn, Posté le mercredi 16 juillet 2014 06:03
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
beaux-belles-sublimes, Posté le mercredi 16 juillet 2014 05:53
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
un-enfant-la-vie59, Posté le mercredi 16 juillet 2014 05:33
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
angel-demonne59, Posté le mercredi 16 juillet 2014 05:23
Rimes riches à l’oeil
L’homme insulté‚ qui se retient
Est, à coup sûr, doux et patient.
Par contre, l’homme à l’humeur aigre
Gifle celui qui le dénigre.
Moi, je n’agis qu’à bon escient :
Mais, gare aux fâcheux qui me scient !
Qu’ils soient de Château-l’Abbaye
Ou nés à Saint-Germain-en-Laye,
Je les rejoins d’où qu’ils émanent,
Car mon courroux est permanent.
Ces gens qui se croient des Shakespeares
Ou rois des îles Baléares !
Qui, tels des condors, se soulèvent !
Mieux vaut le moindre engoulevent.
Par le diable, sans être un aigle,
Je vois clair et ne suis pas bigle.
Fi des idiots qui balbutient !
Gloire au savant qui m’entretient !
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le jeudi 29 mai 2014 06:16
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
un-bebe-bebe-reborn, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:46
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
beaux-belles-sublimes, Posté le jeudi 29 mai 2014 05:09
À Alfred de Musset
Un poète est parti ; sur sa tombe fermée
Pas un chant, pas un mot dans cette langue aimée
Dont la douceur divine ici-bas l’enivrait.
Seul, un pauvre arbre triste à la pâle verdure,
Le saule qu’il rêvait, au vent du soir, murmure
Sur son ombre éplorée un tendre et long regret.
Ce n’est pas de l’oubli ; nous répétons encore,
Poëte de l’amour, ces chants que fit éclore
Dans ton âme éperdue un éternel tourment,
Et le Temps sans pitié qui brise de son aile
Bien des lauriers, le Temps d’une grâce nouvelle
Couronne en s’éloignant ton souvenir charmant.
Tu fus l’enfant choyé du siècle. Tes caprices
Nous trouvaient indulgents. Nous étions les complices
De tes jeunes écarts; tu pouvais tout oser.
De la Muse pour toi nous savions les tendresses,
Et nos regards charmés ont compté ses caresses.
De son premier sourire à son dernier baiser.
Parmi nous maint poète à la bouche inspirée
Avait déjà rouvert une source sacrée;
Oui, d’autres nous avaient de leurs chants abreuvés.
Mais le cri qui saisit le c½ur et le remue,
Mais ces accents profonds qui d’une lèvre émue
Vont à l’âme de tous, toi seul les as trouvés.
Au concert de nos pleurs ta voix s’était mêlée.
Entre nous, fils souffrants d’une époque troublée,
Le doute et la douleur formaient comme un lien.
Ta lyre en nous touchant nous était douce et chère ;
Dans le chantre divin nous sentions tous un frère ;
C’est le sang de nos c½urs qui courait dans le tien.
Rien n’arrêtait ta plainte, et ton âme blessée
La laissait échapper navrante et cadencée.
Tandis que vers le ciel qui se voile et se clôt
De la foule montait une rumeur confuse,
Fier et beau, tu jetais, jeune amant de la Muse,
A travers tous ces bruits ton immortel sanglot.
Lorsque le rossignol, dans la saison brûlante
De l’amour et des fleurs, sur la branche tremblante
Se pose pour chanter son mal cher et secret.
Rien n’arrête l’essor de sa plainte infinie,
Et de son gosier frêle un long jet d’harmonie
S’élance et se répand au sein de la forêt.
La voix mélodieuse enchante au loin l’espace….
Mais soudain tout se tait ; le voyageur qui passe
Sous la feuille des bois sent un frisson courir.
De l’oiseau qu’entraînait une ivresse imprudente
L’âme s’est envolée avec la note ardente ;
Hélas ! chanter ainsi c’était vouloir mourir !
Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)
tony1985, Posté le lundi 27 mars 2017 03:18
♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥ ♥ ♥♥
.♫ Bonjour . ♫ .♫
♫ C' est sur une note de musique .♫ .♫
♫ Que je passe te souhaiter .. ..♫ .♫.
♫Une belle et douce journée . .♫ .♫
♫ Gros bisous♥ ♥
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