
homage as tout nos defunt
merci de l acher vos com publicitaure sur uniquement page 1724 car un beug as effacer la page 175 merci par repect des personnes deceder leurs familles amis et amies merci d avance
VOUS ALLER ME METTRE EN COLERE AS NE PAS REPECTER LES MORTS
je croit que lont cherche as que je ferme se compte car bisaeement il est en entretien que je vient
Arrêter de lâcher vos com. Publicitaire as travers tout surtout pour avoir des com. Supplémentaires car sait du manque de respect Anvers les familles ou les amies et amis du ou des morts
Veuillez utiliser la prochaine fois la page spécial prévue pour sa merci
Merci de l ache vos com. publicitaire sur article n° 875 uniquement page 175 merci par repect des personnes décéder leurs familles amis et amies merci d avance
arretter vos grosserter sur se site merci
DESOLER MAIS SI JE VIENT PRESQUE PLUS JAI DES PROBLEMES DE CONNECTION
SI JAI PAS SU REONDRE AS VOS COM REMETTER LE JE VOIS QUE LES PREMEIR
MON AUTRE BLOC OU JE PEUX METTRE LES HOMMAGES
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pattybijoux, Posté le lundi 22 mai 2017 14:19
Attente
Cette graine que je tiens
dans le creux de ma main,
qu’en naîtra-t-il demain ?
Un roseau ou un chêne ?
Quelque plante de jardin ?
J’ignore et ne m’en plains.
Mais le coeur me palpite,
sachant qu’en elle habite
une vie qui attend
mon plaisir du moment
et qui dira : présent
pourvu que je lui trouve
bonne terre qui la couve.
Ainsi, bonne graine attend.
Cet amour que tu tiens
dans le creux de ta main,
qu’en naîtra-t-il demain ?
Mon bonheur, ou ma peine ?
Ou mes regrets sans fin ?
Je l’ignore, ô combien.
Mais là, mon coeur se glace
de ne savoir ma place
au destin qui attend
ton plaisir du moment.
Car c’est toi qui choisis,
et c’est moi qui subis.
Bonne chienne qui attend.
Et bon chien s’y entend.
pattyvend, Posté le mardi 18 avril 2017 05:21
Quand les guignes furent mangées…
Quand les guignes furent mangées,
Elle s’écria tout à coup :
– J’aimerais bien mieux des dragées.
Est-il ennuyeux, ton Saint-Cloud !
On a grand-soif ; au lieu de boire,
On mange des cerises ; voi,
C’est joli, j’ai la bouche noire
Et j’ai les doigts bleus ; laisse-moi. –
Elle disait cent autres choses,
Et sa douce main me battait.
Ô mois de juin ! rayons et roses !
L’azur chante et l’ombre se tait.
J’essuyai, sans trop lui déplaire,
Tout en la laissant m’accuser,
Avec des fleurs sa main colère,
Et sa bouche avec un baiser.
madin24, Posté le lundi 17 avril 2017 21:29
Entièrement d'accord avec toi! Certaines blessures sont indélébiles je le sais par expérience ; Regardes un peu sur mon blog l'article intitulé "Michel et tragédie !" ( situé àprès quelques articles du début blog)
Guynia, Posté le samedi 12 novembre 2016 04:05
Bonjour :)
Avec toi, j'ai le bonheur
De vivre, d'exister chaque jour
Sous le ciel azur de ton amitié.
Que faire, que dire pour te remercier ?
T'offrir un peu de mon temps,
Parcourir le chemin de ton joli blog,
Y laisser une trace de mon c½ur,
Te souhaiter une belle journée,
Remplie de petits bonheurs.
A l'ombre de mes bras,
Te couvrir de tendresse,
Sans oublier de petits bisous d'amitié
Sur tes jolies joues .
Ton amie Nadine
Visiteur, Posté le jeudi 10 novembre 2016 16:23
Guynia, Posté le mercredi 27 avril 2016 05:09
Coucou, c'est sous un voile de neige
Que je viens te souhaiter
Une bonne journée
Prends bien soin de toi
Un câlin de tendresse
De doux bisous de mon coeur
Ton amie Nadine
pattyvend, Posté le dimanche 10 avril 2016 09:32
Cauchemar
Paul Verlaine
J’ai vu passer dans mon rêve
– Tel l’ouragan sur la grève, –
D’une main tenant un glaive
Et de l’autre un sablier,
Ce cavalier
Des ballades d’Allemagne
Qu’à travers ville et campagne,
Et du fleuve à la montagne,
Et des forêts au vallon,
Un étalon
Rouge-flamme et noir d’ébène,
Sans bride, ni mors, ni rêne,
Ni hop ! ni cravache, entraîne
Parmi des râlements sourds
Toujours ! toujours !
Un grand feutre à longue plume
Ombrait son oeil qui s’allume
Et s’éteint. Tel, dans la brume,
Éclate et meurt l’éclair bleu
D’une arme à feu.
Comme l’aile d’une orfraie
Qu’un subit orage effraie,
Par l’air que la neige raie,
Son manteau se soulevant
Claquait au vent,
Et montrait d’un air de gloire
Un torse d’ombre et d’ivoire,
Tandis que dans la nuit noire
Luisaient en des cris stridents
Trente-deux dents.
acteursactrices, Posté le jeudi 24 mars 2016 16:56
Sur l’océan couleur de fer
Paul-Jean Toulet
Sur l’océan couleur de fer
Pleurait un choeur immense
Et ces longs cris dont la démence
Semble percer l’enfer.
Et pais la mort, et le silence
Montant comme un mur noir.
… Parfois au loin se laissait voir
Un feu qui se balance.
pattyvend, Posté le jeudi 24 mars 2016 16:31
Sur l’océan couleur de fer
Paul-Jean Toulet
Sur l’océan couleur de fer
Pleurait un choeur immense
Et ces longs cris dont la démence
Semble percer l’enfer.
Et pais la mort, et le silence
Montant comme un mur noir.
… Parfois au loin se laissait voir
Un feu qui se balance.
acteursactrices, Posté le lundi 16 novembre 2015 09:12
Sonnet de porcelaine
Le soir, ouvrant au vent ses ailes de phalène,
Évoque un souvenir fragilement rosé,
Le souvenir, touchant comme un Saxe brisé,
De ta naïveté fraîche de porcelaine.
Notre chambre d’hier, où meurt la marjolaine,
N’aura plus ton regard plein de ciel ardoisé,
Ni ton étonnement puéril et rusé…
Ô frissons de ta nuque où brûlait mon haleine !
Et mon coeur, dont la paix ne craint plus ton retour,
Ne sanglotera plus son misérable amour,
Frêle apparition que le silence éveille !
Loin du sincère avril de venins et de miels,
Tu souris, m’apportant les fleurs de ta corbeille,
Fleurs précieuses des champs artificiels.
pattybijoux, Posté le dimanche 15 novembre 2015 10:19
Sonnet à une enfant
Tes yeux verts comme l’aube et bleus comme la brume
Ne rencontreront pas mes yeux noirs de tourment,
Puisque ma douleur t’aime harmonieusement,
O lys vierge, ô blancheur de nuage et d’écume !
Tu ne connaîtras point l’effroi qui me consume,
Car je sais épargner au corps frêle et dormant
La curiosité de mes lèvres d’amant,
Mes lèvres que l’Hier imprégna d’amertume.
Seule, lorsque l’azur de l’heure coule et fuit,
Je te respirerai dans l’odeur de la nuit
Et je te reverrai sous mes paupières closes.
Portant, comme un remords, mon orgueil étouffant,
J’irai vers le Martyre ensanglanté de roses,
Car mon c½ur est trop lourd pour une main d’enfant.
acteursactrices, Posté le dimanche 19 juillet 2015 18:18
Arbre
Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galopent
Où sont les aveugles où sont-ils allés
La seule feuille que j'aie cueillie s'est changé en plusieurs mirage
Ne m'abandonnez pas parmi cette foule de femmes au marché
Ispahan s'est fait un ciel de carreaux émaillés de bleu
Et je remonte avec vous une route aux environs de Lyon
Je n'ai pas oublié le son de la clochette d'un marchand de coco
d'autrefois
J'entends déjà le son aigre de cette voix à venir
Du camarade qui se promène avec toi en Europe
Tout en restant en Amérique
Un enfant
Un veau dépouillé pendu à l'étal
Un enfant
Et cette banlieue de sable autour d'une pauvre ville au fond de l'est
Un douanier se tenait là comme un ange
À la porte d'un misérable paradis
Et ce voyageur épileptique écumait dans la salle d'attente des premières
Engoulevent Blaireau
Et la Taupe-Ariane
Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien
Tour à tour nous dormions le voyageur en bijouterie et moi
Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver armé
Tu t'es promené à Leipzig avec une femme mince déguisé en homme
Intelligence car voilà ce que c'est qu'une femme intelligente
Et il ne faudrait pas oublier les légendes
Dame-Abonde dans un tramway la nuit au fond d'un quartier désert
Je voyais une chasse tandis que je montais
Et l'ascenseur s'arrêtait à chaque étage
Entre les pierres
Entre les vêtements multicolores de la vitrine
Entre les charbons ardents du marchand de marrons
Entre deux vaisseaux norvégiens amarrés à Rouen
Il y a ton image
Elle pousse entre les bouleaux de la Finlande
Ce beau nègre en acier
La plus grande tristesse
C'est quand tu reçus une carte postale de La Corogne
Le vent vient du couchant
Le métal des caroubiers
Tout est plus triste qu'autrefois
Tous les dieux terrestres vieillissent
L'univers se plaint par ta voix
Et des êtres nouveaux surgissent
Trois par trois
pattybijoux, Posté le dimanche 19 juillet 2015 16:49
Arbre
Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galopent
Où sont les aveugles où sont-ils allés
La seule feuille que j'aie cueillie s'est changé en plusieurs mirage
Ne m'abandonnez pas parmi cette foule de femmes au marché
Ispahan s'est fait un ciel de carreaux émaillés de bleu
Et je remonte avec vous une route aux environs de Lyon
Je n'ai pas oublié le son de la clochette d'un marchand de coco
d'autrefois
J'entends déjà le son aigre de cette voix à venir
Du camarade qui se promène avec toi en Europe
Tout en restant en Amérique
Un enfant
Un veau dépouillé pendu à l'étal
Un enfant
Et cette banlieue de sable autour d'une pauvre ville au fond de l'est
Un douanier se tenait là comme un ange
À la porte d'un misérable paradis
Et ce voyageur épileptique écumait dans la salle d'attente des premières
Engoulevent Blaireau
Et la Taupe-Ariane
Nous avions loué deux coupés dans le transsibérien
Tour à tour nous dormions le voyageur en bijouterie et moi
Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver armé
Tu t'es promené à Leipzig avec une femme mince déguisé en homme
Intelligence car voilà ce que c'est qu'une femme intelligente
Et il ne faudrait pas oublier les légendes
Dame-Abonde dans un tramway la nuit au fond d'un quartier désert
Je voyais une chasse tandis que je montais
Et l'ascenseur s'arrêtait à chaque étage
Entre les pierres
Entre les vêtements multicolores de la vitrine
Entre les charbons ardents du marchand de marrons
Entre deux vaisseaux norvégiens amarrés à Rouen
Il y a ton image
Elle pousse entre les bouleaux de la Finlande
Ce beau nègre en acier
La plus grande tristesse
C'est quand tu reçus une carte postale de La Corogne
Le vent vient du couchant
Le métal des caroubiers
Tout est plus triste qu'autrefois
Tous les dieux terrestres vieillissent
L'univers se plaint par ta voix
Et des êtres nouveaux surgissent
Trois par trois
acteursactrices, Posté le dimanche 14 juin 2015 07:17
bon dimanche
pattybijoux, Posté le jeudi 11 juin 2015 16:21
Paysage mauvais
Sables de vieux os - Le flot râle
Des glas : crevant bruit sur bruit …
- Palud pâle, où la lune avale
De gros vers, pour passer la nuit.
- Calme de peste, où la fièvre
Cuit … Le follet damné languit.
- Herbe puante où le lièvre
Est un sorcier poltron qui fuit …
- La Lavandière blanche étale
Des trépassés le linge sale,
Au soleil des loups… - Les crapauds,
Petits chantres mélancoliques
Empoisonnent de leurs coliques,
Les champignons, leurs escabeaux.
acteursactrices, Posté le mardi 09 juin 2015 09:31
bon après midi
chayenne85, Posté le vendredi 29 mai 2015 12:16
bisous bisous bisous
LES-DAUPHINS-95, Posté le samedi 16 mai 2015 12:09
Bonsoir.
Une rose près de ton c½ur ...je dépose..
Que paix, joie, bonheur elle t'apporte..
Et dans la fidélité qu'elle te transporte..
Que cette rose entre tes mains,.
Ose te rappeler ma présence !
Et toute ma reconnaissance..
Que cette rose à la porte de ton c½ur appose,.
Le sceau d'une mutuelle solidarité..
Ainsi qu'une grande amitié..
Passe une bonne soirée
Une envolée de bisous
rapaure, Posté le mardi 21 avril 2015 09:22
normandmoi
a écrit : "Bonjour et bon anniv a toi, Profites De Ta journee!!! Happy Birthday To You!!!
"
merci c cool de ta part merci
Guynia, Posté le mardi 15 août 2017 16:12
Coucou, bonsoir
Sous la lueur de la lune,
Le scintillement des étoiles,
Je passe te faire mon petit coucou du soir.
Passe une bonne soirée tout en douceur,
Une nuit aux douces chimères,
L'espoir d'un autre univers,
Dans l'éblouissante lumière
De l'amour, l'amitié.
Câlin tendresse, bisous d'amitié
Ton amie Nadine